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Cyberpunk et Vaporwave : est-ce la même chose ou est-ce différent ?

Vaporwave vs cyberpunk
TL ;DR : Même boîte à outils (néon, écrans cathodiques, dégradés), posture différente. Le cyberpunk ajoute une histoire et de la tension ; le vaporwave maintient un cadre calme et nostalgique. Mélangez avec une pièce maîtresse, une palette restreinte et des cadres simples.

Cyberpunk et Vaporwave : est-ce la même chose ou est-ce différent ?

Réponse courte : apparentés, mais pas identiques : ils parlent le même langage visuel, mais racontent des histoires différentes. Voici comment les voir ensemble et bien les utiliser.

TL ;DR : Même boîte à outils (néon, écrans cathodiques, dégradés), posture différente. Le cyberpunk ajoute une histoire et de la tension ; le vaporwave maintient un cadre calme et nostalgique. Mélangez avec une pièce maîtresse, une palette restreinte et des cadres simples.

Langage visuel partagé

Les deux vivent au carrefour de la lumière de la ville et de la technologie rétro. Vous voyez des grilles raster, des lignes de balayage d’écrans cathodiques, des caractères chromés et des dégradés doux. La logique des couleurs est similaire : néon contre ombre, lueur qui se répand sur les surfaces. L’échelle change facilement aussi : des fenêtres de bureau aux horizons et aux silhouettes simplifiées de mégastructures.

À partir de là, la posture change : le vaporwave suspend un souvenir ; le cyberpunk suit une histoire au niveau de la rue. La parenté est visuelle ; l’ambiance est ce qui change.

Origines : pourquoi l’ambiance est différente

Le cyberpunk est issu de la science-fiction et du cinéma. Il est axé sur les personnages et le monde : pluie, mouvement, pouvoir, foules et systèmes. Il regarde cinq minutes dans le futur et se demande ce que cela fait aux gens. Le vaporwave est issu de la culture musicale et du design graphique sur Internet. Il s’agit d’abord d’une ambiance : fenêtres d’interface utilisateur, atriums de centres commerciaux, mots chromés, épanouissement VHS et nostalgie basée sur des échantillons. Il réfracte l’idée des années 80 ou 90 du futur dans une atmosphère actuelle.

Les deux examinent le même monde techno-capitaliste. Le cyberpunk est explicite : pouvoir et inégalité à l’échelle de la rue. Le vaporwave est oblique : kitsch de marque et ambiance de centre commercial tenus à distance. Différentes voix, questions connexes.

Couleur, lumière et matériaux

Le cyberpunk n’est pas seulement bleu sarcelle et magenta. Attendez-vous à l’orange des lampadaires au sodium, aux verts maladifs, aux blancs froids et au noir brillant : des textures qui oscillent entre le grain industriel et la pluie, et le verre et le métal propres. Le vaporwave n’est pas seulement pastel non plus. À côté des dégradés doux, vous verrez des roses électriques, des violets saturés et des reflets chromés enveloppés de brume. Les deux adorent la lueur : ils la visent simplement différemment.

Conseils d’éclairage : réglez les bandes RVB sur une seule couleur d’accent, gardez un blanc neutre pour la lumière de travail et évitez les effets stroboscopiques. Les surfaces brillantes reflètent les reflets durs ; le papier mat et les cadres en satin calment la scène.

Objets et architecture (y compris les mégastructures)

Le cyberpunk encadre les mégavilles et les mégastructures (arcologies, passerelles aériennes, blocs d’habitation sans fin) : plus les ruelles, la signalisation superposée, les motos et les corps augmentés. Vous ressentez le mouvement et l’échelle. Le vaporwave s’attarde sur les ordinateurs de bureau, les boîtes de dialogue, les bustes gréco-romains, les palmiers et les couchers de soleil. Il ne se limite pas à la petite échelle : les silhouettes stylisées de villes et les façades adoucies de mégastructures apparaissent souvent comme une mémoire graphique plutôt que comme un détail de rue, aplaties en plans pastel.

Typographie, interface utilisateur et son

Le cyberpunk traite le type comme une infrastructure : signalisation empilée, kanji dense, avertissements et signalisation. Les éléments d’interface semblent fonctionnels ou tactiques. Le vaporwave traite le type comme un objet : lettres chromées, nostalgie des polices à empattement et panneaux d’interface graphique rétro utilisés pour l’atmosphère. Les signaux sonores diffèrent également : le cyberpunk entend des sirènes, des ventilateurs, des transports en commun et des basses ; le vaporwave entend de la musique d’ambiance (musique de fond de centre commercial), des nappes de synthé et du wow de bande. Votre pièce peut emprunter ces signaux : une affiche avec des panneaux empilés par rapport à un mot-symbole chromé sur un dégradé, pour créer rapidement l’ambiance.

Composition et impression de la caméra

Le cyberpunk se lit comme une image en mouvement : angles bas, ruelles étroites, reflets, pluie et parallaxe. Les visages sont éclairés par des écrans et des panneaux. Le vaporwave se lit comme une image figée : objets centrés, grilles d’horizon, cercles de coucher de soleil et grand espace négatif. Considérez le cyberpunk comme une scène et le vaporwave comme une affiche. Les deux peuvent être graphiques et audacieux à distance.

Pourquoi ils fonctionnent dans les pièces réelles

Les deux styles sont graphiques, lisibles et suffisamment forts pour ancrer un mur. Le cyberpunk ajoute du poids narratif. Le vaporwave ajoute de l’air et de la couleur. Ensemble, ils s’équilibrent : un conducteur, un passager. Ils s’agencent également bien avec les configurations courantes : éclairage RVB, bureaux en verre, consoles et équipement de diffusion en continu.

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Comment choisir : par ambiance et contexte

Si vous voulez de la concentration, laissez le cyberpunk mener. Choisissez une pièce avec des noirs profonds, des reflets durs et des intempéries visibles. Il s’agence bien avec les murs plus foncés et les accents métalliques.

Si vous voulez de la facilité, laissez le vaporwave porter la palette. Les dégradés pastel et le type chromé donnent le ton sans dominer l’espace.

Si vous voulez les deux, choisissez un point d’ancrage et un contrepoint. Gardez la famille de couleurs serrée pour que la lueur soit intentionnelle.

Recettes de pièces

Centre de commande : une tranche de ville cyberpunk dans un cadre noir, un mur neutre, un RVB réglé sur un blanc froid avec une seule couleur d’accent.

Coin néon doux : affiche de dégradé vaporwave, cadre blanc, bande lumineuse ambiante chaude et surface de bureau à faible lustre.

Ensemble équilibré : point d’ancrage vaporwave plus une petite impression de détail cyberpunk, un écart de 10 à 12 cm, les bords supérieurs alignés.

Mélanger sans bruit

Utilisez une règle simple : un conducteur, un passager. Décidez d’abord de la palette du conducteur, puis ajoutez une ou deux œuvres de soutien de l’autre style. Donnez à chaque pièce de l’espace pour respirer et utilisez des cadres neutres pour que la lueur fasse son effet. Les compositions à grande échelle de mégastructures peuvent ancrer l’un ou l’autre style : contraste élevé et granuleux pour le cyberpunk, lissé et pastel pour le vaporwave.

Erreurs courantes

  • Sur-saturation des deux styles à la fois
  • Trop de polices ou de logotypes dans un seul groupe
  • Cadres qui s’opposent à la palette
  • RVB à forte stroboscopie qui se bat avec l’art

Liste de contrôle de l’acheteur

  • Taille : choisissez une impression qui correspond à la portée du mur. Un grand point d’ancrage est plus propre que de nombreuses petites pièces.
  • Papier : mat ou satiné pour réduire l’éblouissement près des écrans. Le brillant est superbe sous une lumière contrôlée.
  • Cadre : noir pour le cyberpunk, blanc ou bois pâle pour le vaporwave. Gardez les profils minces.
  • Espacement : laissez 10 à 12 cm entre les cadres. Alignez les lignes supérieures ou centrales.
  • Lumière : une couleur d’accent en RVB, un blanc propre pour les tâches. Évitez les cycles arc-en-ciel.

Mini-glossaire

CRT
Ancien écran à tube avec des lignes de balayage visibles et une douce floraison.
Muzak
Musique de fond de centre commercial utilisée pour une ambiance calme et légèrement surréaliste.
Mégastructure
Type de bâtiment très grand tel qu’une arcologie, un complexe de passerelles aériennes ou un bloc sans fin.

Chronologie en six lignes

  1. Années 1980 : le cyberpunk éclate dans la fiction et le cinéma.
  2. Années 1990 : la culture de l’interface graphique, le type chromé et les centres commerciaux se répandent.
  3. Années 2010 : le vaporwave est issu de la musique et des visuels sur Internet.
  4. Années 2010 : l’éclairage RVB et les configurations de jeu se généralisent.
  5. Années 2020 : les paysages urbains hybrides mélangent les deux palettes.
  6. Aujourd’hui : les pièces mélangent une impression d’ancrage avec une palette serrée.

FAQ

Puis-je les mélanger dans une petite pièce

Oui. Utilisez une pièce d’ancrage pour définir la palette et un petit contrepoint. Gardez les cadres simples et laissez de l’espace pour respirer.

Les mégastructures conviennent-elles au vaporwave

Elles le peuvent. Utilisez des silhouettes adoucies et des plans pastel pour qu’ils se lisent comme une mémoire graphique, et non comme un détail de rue.

Quels cadres fonctionnent le mieux

Cadres noirs ou métalliques minces pour le cyberpunk. Bois blanc ou pâle mince pour le vaporwave. Évitez les cadres ornés lourds qui combattent l’aspect graphique.

Cité Rétro-Futuriste par Hive Arts Studio sur toile, affiche, papier peint et autres impressions 7c54d0867100
Ville rétro-futuriste
Bâtiment solitaire, vaporwave par Hive Arts Studio sur toile, affiche, papier peint et autres impressions 2f9291d899a3
Bâtiment isolé

Dernière réflexion

Sont-ils identiques ou différents ? Pensez à des frères et sœurs, pas à des jumeaux. Même quartier, différents accents. Choisissez l’objectif qui correspond à votre humeur : ouvrez les deux fenêtres et laissez la ville briller.

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